Aujourd’hui je vous présente ( pour ceux qui ne connaissent pas encore ) Jordy du site Totoro times. Sa spécialité : Les lieux abandonnés. Et comme tout bon explorateur Urbex il a un paquet d’images et d’histoires à raconter. Je vous conseille d’aller jeter un œil à ses 2 sites : Totoro times et Haikyo.org
Quelques petites images juste pour donner envie d’aller voir son travail :
10 Commentaires
Quand j’ai visité Gunkanjima (sur l’estrade en béton, c’était intéressant mais c’est vrai qu’on aimerait pouvoir s’approcher plus des ruines), il y avait au loin un petit groupe de 4-5 japonais (visiblement touristes), avec un casque de chantier sur la tête, qui étaient sur les bâtiments en train de visiter avec un guide : peut être que certaines agences proposent des tours privés? Après je connais pas le prix…
Merci à Alex pour cette introduction à mes péripéties finalement très proche de la réalité ! Cette épisode urbex fut très court mais très intense et c’est un de mes meilleurs souvenirs. À l’époque, le bon vieux monsieur ne m’avait laissé qu’une quarantaine de minutes pour faire le tour de l’île (en courant)…
J’aime, j’approuve, j’adore
On ne se lasse jamais de ses photos. Magnifiques !
J’ai du pain sur la planche pour trouver un pecheur téméraire ! Je compte faire cette experience aussi, si je ne me dégonfle pas au dernier moment
M Ouistiti > Pour le savoir, il faut lire tout ses articles sur Gunkajima :
http://www.totorotimes.fr/exploration-urbaine/gunkanjima-odyssee/
Y’a de la lecture !
Bon, en fait, j’ai pas décroché de ses deux sites depuis mon premier commentaire.
j’adore !
Je sens que je vais passer ma nuit à regarder ça.
Mais surtout, ça me donne beaucoup d’idées, à Hokkaido je suis sûre qu’on a beaucoup de trésors dans ce genre
L’histoire ne dis pas si le pêcheur chelou est revenu le chercher
De superbes photos!
J’aime beaucoup les lieux abandonnés également.
(Par contre Gunkanjima n’est pas (plus) abandonnée, il me semble même qu’il y ait des tours operators qui proposent des excursions sur un sentier balisé.)
Sur Gunkanjima, seule une estrade en béton est accessible, impossible de visiter l’île. On accoste l’île, on a un petit discours sur son histoire et on repart.